la recherche de la science 2e partie

Traduction du livre de cheikh Bâzmôl
mardi 4 mai 2010
par  Webmaster
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Le Deuxième fondement


(Fondation de la recherche de la science de cheikh Bâzmôl)


 


La science qui est voulue dans les versets et les hadiths est la science législative, quand aux sciences universelles, naturelles et sciences de l’actualité elles sont de l’ordre de l’obligation communautaire :


Ceci entre sous la parole d’Allah le très haut qui signifie : "Et préparez [pour lutter] contre eux tout ce que vous pouvez comme force et comme cavalerie équipée".


Ainsi que sous la règle « pas de mal et pas de préjudice » .


Et sous le principe  : « ce dont l’obligation ne peut se passer pour être complète est obligatoire » .


 


Parmi les choses qui sont construites sur ce fondement il y a :


 


1- On ne dit pas de manière absolue d’une science, qu’elle est obligatoire pour chaque musulman ou demandeur de science, si ce n’est pour les sciences législatives (religieuses) .


Comme certains disent : « ce qui se nomme science de l’actualité » (fiqh alwaqi), qui tourne autour de l’étude des analyses et des informations qui proviennent des journaux et des magazines, est une science obligatoire, et chaque demandeur de science doit l’apprendre ».


 


2- La science dont les prédécesseurs ont fait l’éloge, et qu’ils ont signifié dans leurs paroles est la science législative, et c’est ce qui est voulue dans la parole de mo’adh : « apprenez la science car son apprentissage pour Allah est de la crainte. La demander est un adoration, l’étudier est une glorification, sa recherche est un jihad, l’enseigner à celui qui ne la connaît pas est une aumône, la donner généreusement à sa famille est un rapprochement, elle est le bon compagnon dans la solitude, le compagnon dans l’isolement, ce qui montre le bonheur et ce qui aide dans la difficulté, elle est le ministre chez les amis intimes, et le proche chez les étrangers elle est ce qui éclaire le chemin du paradis, Allah élève par celle-ci des peuples, il en fait ainsi des guides et des maîtres dans le bien, ils sont imités, ils guident vers le bien, leurs traces sont pistées, et on regarde fixement leurs actes » .


 


Parmi les choses qui sont construites sue ce fondement, il y a par conséquent : la science dont Allah a fait l’éloge, et dont le prophète –paix et salut d’Allah soit sur lui-, les prédécesseurs parmi les compagnons et les suivants, ont fait l’éloge et la science législative, les sciences autres que celles-ci ne sont pas celles dont la louange est voulue dans les versets, les ahadith et la parole des prédécesseurs.


Donc, la médecine, l’architecture, la chimie, la physique ne sont pas les sciences signifiées dans les versets et les ahadtih.


Lorsque nous avons su cela, alors quel est le jugement de l’apprentissage de ces sciences ?


Je dis : ceci est de l’ordre de l’obligation communautaire, l’acquérir est de l’ordre : « ce dont l’obligation a besoin pour être complète est obligatoire » . Ceci entre de même sous la parole d’Allah très haut qui signifie : "Et préparez [pour lutter] contre eux tout ce que vous pouvez comme force et comme cavalerie équipée". [s10, v60].


Ceci est le jugement ce ces sciences, si une partie (de la communauté) s’en acquitte, alors le reste en est exempt.


 


Ce que je vous ai mentionné comme quoi l’on ne dit pas de manière absolue que ces sciences, et ce qui est semblable, est une obligation pour chaque musulman est bâti sur ce fondement.


Par conséquent, et à fortiori, les sciences parmi elles qui se raccrochent à ce qui est mentionné dans les journaux et les magazines, on n’en dira pas de manière absolue que chaque demandeur de science doit les apprendre.


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